Les THEMES au coeur du Néo-existentialisme ! |
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Essai de présentation de l’œuvre de Jubil Boissy :
Avec le premier ouvrage intitulé « L’immuable réalité existentielle, Néo-existentialisme et philosophie des temps à venir » la pensée néo-existentialiste jaillit mais en une lumière encore diffuse surtout en certains endroits ou certaines notions. C’est le cas notamment du phénomène de conscience qui y est vaguement traité jusqu’à se voir remplacé par celui de cerveau avec les sens organiques. Il en va de même aussi au sujet des phénomènes de Langage et de la Pensée. Mais les dés étaient déjà jetés et l’élan de cette pensée néo-existentialiste irréversible. Toutefois le plus beau demeure dans le fait que cette pensée dans sa lancée s’inscrit dans le dépassement d’elle-même, dépassement auquel elle soumet incontournablement toute notion ou concept. C’est ainsi que les notions ou concepts de l’existence, du néant, du déterminisme, du sens, de la valeur, de philosophie, d’interaction, de l’action, de la présence, de l’oubli, de l’objet, de l’image mais surtout de la conscience, du Langage et de la Pensée vont inévitablement subir la marque du dépassement dans la cohérence tout au long de la sécrétion de cette pensée néo-existentialiste au fur et à mesure que les livres jubilistes se succèdes. De fait le premier ouvrage posant de façon très sûre des soupçons très lourds à craquer au sujet surtout de la philosophie, du Langage et de la conscience verra le second ouvrage intitulé « Le Néo-existentialisme : une prophétie de la philosophie de rupture » insister beaucoup sur ces notions mais surtout sur celle de la conscience en y apportant suffisamment de lumière pour avoir établi la « nature et réalité » existentielles et intrinsèques de cette conscience. Malheureusement cette abondante lumière aura contenu en elle des particules défectueuses que traduit le fait que Jubil Boissy ait pris la conscience pour une « présence existentielle » et ce pour ne s’être pas méfié de l’influence néfaste de l’extérieur où sous l’influence cartésienne la conscience est bel et bien prise pour une « présence pure intemporelle et flottante » mais indépendante, totalement hors de tout support matériel ou d’aspect physique quelconque alors qu’avec le second ouvrage néo-existentialiste de Jubil la « présence » y est chosifiée, elle y est d’aspect physique quelconque intégrant absolument ce Monde-ci. Mais c’était là une légère méprise que se précipitera de corriger le troisième ouvrage de Jubil Boissy intitulé « Second thèse néo-existentialiste sur la conscience .» Là la conscience n’est plus et de bonne foi une « présence existentielle » comme « première caractéristique existentielle » mais plutôt une « seconde caractéristique » procédant inéluctablement de cette première, elle est « un agir existentiel pur. » Ailleurs pour ce qui concerne le phénomène de Langage, celui-ci, à partir du troisième ouvrage se découvre enfin comme étant « une attitude » de la conscience humaine, cette conscience dénaturée, aliénée et prisonnière, dans l’œuvre ou le fait de « représenter » le réel, « attitude » où la conscience se rapporte ― et c’est là sa réalité existentielle ― aux phénomènes de « mot, de langue » pour représenter ou contenir le réel. Le Langage n’y est plus une faculté ni une fonction naturelles de la conscience, il n’est pas la conscience et n’entache en rien sa réalité intrinsèque d’être « agir existentiel pur » seulement la conscience est ici prisonnière aliénée et le Langage contre-nature. En fin pour ce qui est du reste de l’œuvre de Jubil c’est tout simplement une sécrétion comme don d’une prophétie inédite de Bonne Nouvelle voire de « Meilleure Nouvelle » tout au long des ouvrages de l’auteur dont la lecture ne manque en aucune ligne, en aucun paragraphe, en aucun chapitre de nous faire jubiler profondément.
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