Les socles de la pensée néo-existentialiste : résumé !
L’Existence est Une, éternelle et de Nature absolument physique sans possibilité aucune de Néant ni d’Immobilisme absolus.
D’où existence = Présence X Animation pêle-mêle !
La conscience est absolument « un pur agir existentiel » en nous, rejoignant ainsi le corps charnel dans son absolue nature physique !
Donc nous sommes absolument des « fils de ce Monde-ci.»
Oui le « Référentiel » ( repère où tout se doit de se visionner et de se justifier) de la pensée néo-existentialiste demeure l’Existence mais point l’humain ni rien d’autre ! Toujours est-il que "le sortir-hors-de-soi", "l'agir existentiel", (l'être chez Heidegger par exemple ou les autres) n'est point le propre de l'humain mais de toute chose que ce puisse être ne serait-ce que par action d'occuper ou par émanation originaire existentielle.
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Ave le néo-existentialisme apprenez que vous êtes appelés à transgresser l’humain (la nature humaine), à le rendre trop poreux, trop transparent, à le trouer de toutes parts pour alors reconnaître et jubiler qu’il est non une finalité acquise encore moins ultime mais un habit à s’en dépouiller, un point de passage accidentel à délaisser par derrière pour un autre accidentel aussi et ainsi de suite parce que les Dépassement et Devenir intempestifs, aveugles et pêle-mêle d’autant que ces dépassement et dépouillement de l’humain ne constituent pas le but de la pensée néo-existentialiste but qui reste plutôt la retrouvaille de la vie ou existence de plénitude en tant que fils de ce Monde-ci sachant que cette vie ou existence de plénitude ne se prédéfinit pas, ne se prédit pas, ne se pré écrit pas si ce n’est qu’elle se sent toujours comme appel perpétuellement renouvelé intempestivement et à poursuivre sans cesse sous les Dépassement et Devenir pêle-mêle et aveugles.
L’on peut donc s’attendre à ce que l’humain trop humain se rétracte tout de suite et crie au scandale ou à la folie, ce ne sera pas surprenant ni étonnant de sa part.
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Les socles de la nature humaine :>>
Les socles de la nature humaine sont le Langage, le Penser et l’anthropocentrisme.
En dehors de ces caractéristiques irréductibles de la nature humaine l’on retrouve « le fils de ce Monde-ci ».
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La présence et l’agir existentiels :::::::::::::
La présence et l’agir existentiels ne sont donc pas là juxtaposés ou additionnés ( l’on ne peut pas écrire Existence = Présence + Agir) car le contraire laisserait supposer que l’agir peut à volonté se donner comme se retirer de la présence ou que celle-ci peut à volonté laisser ou non se sécréter l’agir ce qui serait trop absurde puisque cela laisserait entrevoir la possibilité d’existence d’un immobilisme absolu et par conséquent du néant.
Sachons donc que la présence existentielle ne peut en aucun cas ou instant ne pas sécréter de l’agir puisqu’elle est déjà et foncièrement de l’agir ne serait-ce que par occupation là, donc elle est agir du simple fait d’être présence là et dès ce simple fait.
En fin sachons que l’agir, l’action n’est pas l’apanage de l’humain cet anthropocentriste, même si la conscience en tant que agir lui est propre d’une certaine façon ; mais ce n’est là qu’un agir selon lui dans sa forme, son étendue, sa constitution, son matériau, son aspect à lui l’humain ; cet agir ne vaut cependant point plus que tout autre dans le Monde qui n’en a rien à faire pour être et demeurer tel qu’il est.
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Oui qu’est-ce que par exemple l’existence, l’agir ou action, la conscience ?
Y aurait-on seulement répondu jusqu’ici de façon inébranlable ?
« Et par ailleurs la méthode cartésienne de doute, par exemple, vue sous un autre angle ne nous révèle-t-elle pas le soupçon d’une tentative de nous « déshumaniser », de nous « dénuder » de notre nature humaine un instant, celui de visionner du dehors cette nature humaine même ? »
Et le néo-existentialisme ne vient-il pas nous appeler à la réalisation d’une telle entreprise dans une totale impartialité ?
Dès lors devrions-nous craindre et refuser de s’adonner à une telle entreprise ou d’y être impartial ?
Le Néo-existentialsime : une philosophie pour un retour au corps charnel et à ce Monde-ci au nom de la vie !
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Pourquoi le néo-existentialisme :
Pour Heidegger exister c’est avoir des possibilités et l’étant qui en a devient un existant.
Or seul l’homme en a en lui même jusqu’à la possibilité de sa mort parce qu’il en a conscience.
Exister pour Heidegger serait précisément alors le fait de mettre en œuvre ses possibilités, de les faire advenir à l’extérieur au monde sensible.
Donc pour Heidegger l’existence est dans ce que le néo-existentialiste appelle « l’agir » dont le mode originaire ou côté interne et « enfoui » s’identifie chez Heidegger à l’être tandis que son mode externe ou accompli ou technique ou mécanique, sa réalisation externe serait alors l’existence.
Heidegger se focalise donc plus sur « ses possibilités » et passe sous silence « l’étant-objet » en tant que « présence ».
Heidegger va de l’être à l’existence en enjambant l’étant-objet sans y accorder d’importance alors qu’il aurait dû y accorder la plus grande importance pour faire alors une croix sur son concept de l’être.
Chez Sartre exister c’est être là en tant que « étant-objet » (chose, animal, l’homme dans ses limites corporelles » bouché, hermétique, fini mais selon lui seul l’humain ne veut se limiter là à « cette finitude »et par sa conscience il conçoit son être ou essence d’où le fameux « l’existence précède l’essence » de Sartre.
Mais l’on peut remarquer que l’être de l’homme n’est pas dans le fait de « concevoir », « d’élaborer ainsi en conscience », il n’est pas dans « la simple affirmation de la conscience en tant que conscience limitée dans ses strictes limites », donc l’être ne s’identifie pas à « la conscience limitée à elle-même sans objet » mais est plutôt dans le résultat de cette activité mentale, de cette conscience en affirmation d’où l’être sartrien est dans « la conscience d’objet ».
Et cette conscience d’objet est ainsi appelée à trouver application dans le monde externe, mécanique, sensible, cette conscience d’objet est appelée à être faite, réalisée et collée à la peau de l’homme comme identité ou définition au moyen du langage d’où l’homme est ainsi ce qu’il se fait selon Sartre.
Pour ce qui concerne les « en-soi » ou choses, objets, « la conscience d’objet » que l’homme fait à leur sujet est ainsi leur essence qui leur précède c’est-à-dire qui précède leur apparition, leur réalisation dans le monde sensible, mécanique.
Sartre en fin de compte passe sous silence la donnée irréductible et réelle « d’agir » ou de « possibilités », il l’enjambe pour alors ne se focaliser que sur son résultat, son objet à produire, et d'ailleurs il confine l'existence au seul fait «d'être-là» donc à la seule donnée de «présence» à moins que elle l'existence ne soit pour lui le couple «être là» et le résultat réalisée de la conscience d'objet sans considération aucune de la donnée « d’agir ».
Toujours est-il que Sartre ne fait que venir en un sens inverse par rapport aux métaphysiciens depuis l'antiquité.
Bref l'on aura donc vu que chez Heidegger comme chez Sartre l'existence advient, se révèle toute mutilée dans sa réalité intrinsèque pour avoir été mal identifiée et trop méconnue dans sa formule ou ses caractéristiques irréductibles et inaliénables, caractéristiques irréductibles dont tous ont parlé sans aucunement les reconnaître pourtant ils ont des yeux pour voir et leurs raison et intelligence pour bien discerner, hélas leur côté trop humain était trop dominant en eux jusqu'à ce qu'ils ne sachent même pas ce que c'est la conscience dont ils font abondamment usage dans l'art de penser et de parler tellement que leurs consciences sont gangrenées par le langage.
Comprendre ce que c'est exister !
L’existence :
Pour un autre moyen de comprendre encore le phénomène d’existence l’on pourrait le comparer au phénomène de fécondation ou de l’œuf ou de l’avènement ou formation de l’organisme vivant si l’on convient que celui-ci commence depuis la fécondation ou l’œuf.
Si donc pour le néo-existentialiste « Existence = Présence X Agir pêle-mêle » alors « œuf = gamète mâle X gamète femelle. »
Et considérons que « gamète mâle = agir pêle-mêle » et « gamète femelle = présence ».
Tout d’abord l’on ne peut pas ici utiliser dans nos formules le signe « + » (plus) qui ferait penser à une juxtaposition d’éléments, d’entités.
En outre le signe « X » (fois) ne saurait ici signifier une multiplication d’éléments, d’entités mais plutôt une « imbrication mutationniste » donc « un faire un ».
L’on voit donc ici que ce n’est pas la notion de nombre qui importe mais plutôt celui d’affirmation réelle, l’on pourrait même dire ici que « 1 + 1 = 1 » en faisant allusion à « œuf = gamète mâle X gamète femelle ».
Par ailleurs l’on peut voir que l’on ne saurait point parler d’œuf en considérant un seul gamète isolément loin de l’autre gamète opposé tout comme il n’y a pas d’œuf en juxtaposant seulement deux gamètes opposés mais qu’il faut « une imbrication on ne peut plus intime et mutationniste », « un faire un parfait » où les deux se dissolvent pour faire une seule et même réalité.
Eh bien il en va de même au sujet de l’Existence avec ses « Présence et agir pêle-mêle ».
Or l’histoire de la Pensée humaine montre que presque tout concept humain de l’existence consiste à voir celle-ci dans les strictes contours d’une seule des deux caractéristiques existentielles que sont « la présence » et « l’agir pêle-mêle ».
Oui tantôt c’est le phénomène de « présence » qui fait l’existence selon l’humain( c’est le cas par exemple en science ou chez Kant ou Sartre où on peut entendre dire que « exister c’est être là posé ») ; ou c’est tantôt alors le phénomène de « l’agir existentiel » qui fait l’existence, c’est la cas que traduit l’expression « exister c’est sortir hors de soi », expression qui s’entend dans la pensée de Saint Augustin, de Kierkegaard ou de Heidegger etc.
C’est dire en fin que l’humain a bel bien soupçonné la réalité fondamentale de l’existence mais l’a très male formulée ce qui sans doute lui valut sa nature d’être humaine, nature propre d’un être malade et errant.
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Vers le fils de ce Monde-ci :
S’acheminer vers le fils de ce Monde-ci c’est avoir à commencer par aimer la vie dans sa plénitude d’affirmation donc dans toutes ses manifestations et y aimer la souffrance et la peur en voyant en elles de gracieuses occasions d’affirmation des dépassement et devenir toujours intempestifs, pêle-mêle et aveugles.
Etre fils de ce Monde-ci c’est aimer pleinement ces dépassements et devenir !
Et la grammaire de nous révéler et la Réalité et la voie de la philosophie !
Et la grammaire de nous révéler et la Réalité et la voie de la philosophie !
La grammaire ne nous enseigne-t-elle pas que le verbe ne dit que l'action faite par le sujet et que celui ne fait donc que l'action exprimée par le verbe.
Alors nécessite-t-il du génie pour constater la place et la fonction du Langage en nous ?
Ne voit-on pas donc à travers ce principe inébranlable de la grammaire que le verbe se positionne entre deux caractéristiques irréductibles qu'il met en même temps en évidence à savoir d'une part le phénomène de présence (le sujet) et d'autre part celui d'agir (l'action, le faire).
Seulement, que le verbe y soit ou non, cela peut-il empêcher le phénomène de présence d'affirmer son agir sans discontinuité ?
Dès lors le dire, cette fonction première du Langage, ne nous paraît-il pas quelque part superflu pour « un fils de ce Monde-ci » d'autant plus que cette fonction même ne peut aucunement anticiper quelconque action qui ne soit déjà affirmée ne serait-ce que dans le troisième mode de déploiement de la conscience-agir (au cas où l'on ne saurait pas encore jusqu'où s'étend la réalité concrète de l'existence ; et Cf. le second ouvrage de Jubil Boissy ; éditions Edilivre) ?
D'ailleurs l'on peut se permettre d'aller visionner la relation entre le verbe (le Langage) et la conscience.
Par exemple tous les verbes cognitifs comme connaître, réfléchir, imaginer, comprendre, juger, calculer, concevoir, percevoir, avoir l'intuition et autres ne se donnent pas à révéler de prime abord explicitement et le sujet d'un côté et l'action d'un autre.
Ils se donnent plutôt comme venant en même temps avec la conscience que du coup ils voilent à presque dissoudre dans le phénomène de l'action qui s'affirme même.
Oui à regarder en deçà ces verbes l'on saisit que c'est foncièrement la conscience qui s'affirme même comme « un comprendre, un juger, un connaître, un concevoir, un réfléchir, un calculer, un percevoir, un avoir-l'intuition » avec ses objets (d'autant que l'on ne peut s'affirmer sans se rapporter au phénomène d'objet autre que soi), même si ailleurs l'humain utilise ces mêmes verbes pour en faire autres chose de trop humain.
Avec ses verbes c'est donc la conscience sous différentes attitudes d'affirmation mais en tant qu'action ce qui donc montre que la conscience est un pur agir.
Et là le « je » que l'on voit souvent précéder et accompagner ces verbes cognitifs n'est rien d'autre que le corps charnel tout entier avec son cerveau mais dans « la relation du dire » qu'opère le Langage.
L'on voit donc que la conscience appartient absolument au corps charnel tout entier en tant qu'elle en est un pur agir existentiel.
Laissons-la donc ne se nourrir que de l'existentiel et non de l'essentiel.
Qu'est-ce que l'action et d'où commence-t-elle ?
Agir mécanique et agir intentionnel
L’agir, l’acte, l’action, l’animation, l’affirmation tout désigne la même chose à savoir le comportement du Monde et de toute chose ou tout être.
Le Monde faisant l’unique Nature physique alors tout agir quel qu’il soit demeure de cette Nature physique.
Donc l’agir « intentionnel » relève de cette Nature-ci, il ne peut aucunement relever d’autre nature que physique d’autant que son propre n’est que de se rapporter, de mouvoir, de s’appliquer sur les choses de la Nature de ce Monde-ci et quand il veut sortir de ce Monde-ci c’est des mensonges qu’alors l’on invente avec des concepts creux et vides de toute réalité.
Ne prenons donc pas le caractère bizarre ou étonnant de l’agir « intentionnel » pour quelque chose d’autre nature, ce serait trop gratuit, trop facile pour ne participer qu’à notre dessein trop anthropocentriste.
Le phénomène d’agir est divers, pêle-mêle en soi-même certifiant ainsi même le caractère d’Animation pêle-mêle du Monde.
Tout agir quel qu’il soit est de ce Monde-ci donc est de nature absolument physique.
Mais d’où commence le phénomène d’agir ?
Le néo-existentialisme établit qu’il commence en évidence dès le simple fait d’être présence là et de ce simple fait d’être présence là et cela ne serait-ce que par occupation et émanation originaire.
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Agir existentiel et énergie de la Science :
Le simple phénomène de présence existentielle génère immédiatement et absolument de l’action tout en étant descendu du phénomène même d’action par apparition qui est action, agir en soi.
L’énergie dont parle la Science est inter-objet, elle se voit dans l’action mécanique d’un objet sur son environnement donc elle se voit dans l’interaction mécanique.
La Science délaisse alors par oubli ou ignorance maladifs ou méchants les phénomènes de présence en tant qu’occupation sur autre chose (ou milieu qui est aussi chose ou ensemble de choses) que soi et d’émanation originaire que saisit la conscience qui elle aussi est pur agir sur autre chose que son support de présence existentielle.
Pourtant dans ce dernier cas il s’agit bel et bien d’interaction existentielle donc réelle quoique plus originaire.
Pourrait-on ou devrait-on y parler de « travail, chaleur, lumière, énergie » dont parle la Science ?
Pour devenir un philosophe étonnant :
Il y a des esprits qui savent bien et beaucoup apprendre pour bien enseigner et interpréter ce qu’ils ont ainsi appris mais il y aussi des esprits qui sont très « paresseux » pour beaucoup apprendre mais qui savent beaucoup et bien lire pour beaucoup déconstruire et s’auto déconstruire que nécessairement ils aboutissent à bien et beaucoup concevoir de façon inédite.
Des premiers relèvent tous les étudiants et leurs professeurs, des seconds relèvent les révoltés, les rebelles, les dissidents, les chercheurs d’où sortent les grands philosophes et visionnaires. Mais qui sont les grands philosophes ou visionnaires ? Peut-être ceux de « l’espèce nietzschéenne ».
En affirmant que le Monde fait l’Existence éternelle d’unique Nature physique à Réalité ou Comportement d’Animation pêle-mêle perpétuelle sans possibilité de néant ni d’immobilisme avec à elle cette Animation ses Dépassement et Devenir aveugles et intempestifs ; qu’exister c’est être à la fois « présence » et « sortir hors de soi » (l’agir) sachant que ce « sortir hors de soi ou agir » n’est point le propre de l’humain mais de tout étant que ce puisse être chacun à sa manière ; que la conscience est « un pur agir existentiel » procédant absolument de la présence qu’est le cerveau le néo-existentialisme vient réhabiliter la philosophie dans sa vraie mission hélas travestie depuis les débuts ; porte à l’accomplissement toute pensée ou prophétie philosophique dans ce qu’elle a d’existentiel et qui faisait sa vocation intime, foncière, inavouée mais inéluctable même si ignorée et « demande que celui qui se prend pour Dieu vienne s’agenouiller et confesser son péché grave de se dire Dieu face au MONDE ».
Pour ce qui concerne la nature humaine l’on peut tout simplement commencer à faire son deuil.
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DEFI à relever ?
Mes amis je vous invite avec insistance à déconstruire ma pensée de néo-existentialisme en la démontant idée par idée, pièce par pièce !
En cela ne vous limitez pas à seulement dire des critiques du genre "ce n'est pas nouveau, c'est nul, c'est une copie inutile etc."
En revanche démontrez par exemple que le néant et l'imobilisme absolus existent ou essayez d'ébranler les thèses néo-existentialistes sur le phénomène de l'agir ou action ! Merci d'avance !
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Ailleurs l’on est même tenté de dire qu’aucune pensée jusqu’ici n’aurait plus que le néo-existentialisme su contrecarrer, ébranler, déconstruit tout ce qui fait l’humain dans sa nature humaine, sa métaphysique, sa divinité, son idéal ascétique, son anthropocentrisme et ce de bonne foi parce que l’humain aura été l’être le plus malade, décadent et moribond au sein du Monde, cette Existence-ci, notre Mère dont les qualités et la fonction demeurent usurpées par un certain drôle de « Père. »
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Le néo-existentialisme est comme un fleuve où viennent se jeter des ruisseaux d’eau troubles pour se purifier ou comme un carrefour où débouchent de voies pour se laisser déconstruire afin de se retrouver dans l’existentiel et non dans l’essentiel qui lui est advenu et sévit depuis l’avènement du Langage et de la « conscience pensante. »
Il n’est donc pas étonnant que l’on retrouve des traces du pré socratisme, du heideggérien ou du je ne sais quoi d’autre dans ce carrefour de déconstruction qu’est le néo-existentialisme sous entendu que cette retrouvaille ne doit pas être confondue à du mimétisme, cela relèverait d’une certaine mauvaise foi et d’un peu d’effort.
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